mercredi 31 décembre 2008

ALSE PORTAGE, C’est la libre entreprise de demain


Aux futurs candidats actuels et futurs : choisissez la franchise qui vous ressemble, car si c’est le cas, le succès sera forcément au bout du chemin !

Le nouveau départ du ferronnier

Le réseau de portage ALSE permet à plus de 500 personnes de travailler en toute liberté, mais en étant salarié.

Exemple avec Christophe Clément, ancien patron sur la région Centre.

Plus encore que le phoenix, un ferronnier est le mieux placé pour renaître de ses cendres.

Après son passage au purgatoire, Christophe Clément en garde d’ailleurs le goût :
« Quand vous coulez, vous êtes un pestiféré », témoigne-t-il, lui qui a dû passer devant des juges en juillet 2005 pour liquider sa société, à cause d’un contrat annulé au mauvais moment.

La bonne idée

Ensuite, « à 48 ans, ce n’est pas évident de trouver un emploi. »

Alors, de petites galères en grandes débrouilles, Christophe finit par tomber sur la bonne idée, ramenée d’Ardèche par son ancien salarié, Yannick Besnard : le portage salarial.

« C’est la libre entreprise de demain », estime Christophe, séduit et totalement impliqué dans cette nouvelle structure. Désormais, lui et Yannick sont tous deux salariés de l’entreprise ALSE.

Un statut légal, qui leur évite la gestion de l’URSSAF, de la trésorerie, des bulletins de salaires et des congés, etc., mais qui leur accorde quasiment la même liberté qu’avant.

« C’est très difficile d’être le technicien et le gestionnaire », reconnaît Christophe.

Aujourd’hui, il démarche les clients potentiels, les deux compères satisfont aux commandes « en synergie », ALSE perçoit les fonds et les rend sous forme de salaires aux ferronniers.

À côté du feu qui brûle à nouveau dans le cœur du ferronnier.

Source : http://www.franchise-service.fr