mercredi 3 décembre 2008

Une proposition de loi sur le télétravail qui peine à convaincre

En soumettant fin octobre une proposition de loi visant à promouvoir le télétravail, les députés UMP Jean-Pierre Decol et Bernard Gérard rejoignent l'un des grands axes du plan Besson France numérique 2012.

Mais si l'idée paraît séduisante sur le papier, des doutes subsistent quant à sa réelle utilité. D'abord, le texte ne fait que reprendre les termes de l'accord national interprofessionnel de juillet 2005, qui découle d'une directive cadre européenne de 2002. « Cet accord a démontré son inefficacité car les entreprises qui télétravaillent préfèrent employer les termes de mobilité ou d'externalisation pour échapper aux conséquences légales, fiscales, voire sociales qui découlent du travail à distance », estime ainsi Cyril Slucki, fondateur de CyberWorkers.com, un réseau de prestataires en télétravail.

Les travailleurs indépendants exclus de la proposition

Ensuite, des questions se posent sur la définition même du terme télétravail, qui reste extrêmement flou. «Depuis la généralisation du haut débit, le fait de consulter ses courriels ou d'effectuer une recherche sur Google à distance peuvent être assimilés à du télétravail », ajoute Cyril Slucki, Mais la vraie question qui se pose réside dans la seule prise en compte du travail salarié dans ce projet de loi : « On regrettera la non intégration des télétravailleurs indépendants dans cette proposition de loi, notamment ceux qui ont recours au portage salarial », déplore le PDG de CyberWorkers.com. Le texte propose en effet une réduction d'impôt aux entreprises qui offrent à leurs salariés la possibilité de télétravailler, mais cette déduction ne s'applique pas aux indépendants qui travaillent à distance et qui effectuent leurs missions en s'appuyant sur du portage salarial.

Source : http://www.lemondeinformatique.fr

lundi 1 décembre 2008

Portage salarial et freelance

Lorsqu’un entrepreneur décide de lancer son activité, de nombreux choix de présentent à lui : Société, indépendant, freelance, salariat etc. Nous vous proposons ici de faire le tri entre ces différentes formes d’activité.
Un mode d’activité protecteur, simple mais couteux : Le portage salarial

Le portage salarial est un mode d’activité permettant à une entreprise de portage de fait travailler une personne (un salarié) au profit d’une autre entreprise. Ce fonctionnement permet au travailleur, généralement un consultant ou un prestataire, de bénéficier du statut protecteur de salarié. Il aura donc droit aux indemnités de licenciement, au chômage, à la retraite comme tous les salariés ordinaire. Cela lui permet également de ne courir aucun risque sur le plan du financement personnel et de ne pas perdre de temps dans la gestion administrative de son activité.
Mais en contrepartie de ces avantages, le portage salarial présente un inconvénient majeur : les frais que cela engendre. En effet, en moyenne, le salarié « porté » reçoit 50% à 60% du montant facturé à l’entreprise qui aura « loué » ses services en tenant compte bien évidemment, que le salarié est imposé sur ses revenus, toujours comme un salarié ordinaire.
En synthèse, ce système est simple, non risqué mais couteux.


Un mode d’activité moins protecteur et plus complexe : « Le freelance »

Le freelance se définit comme un expert indépendant. A ce titre, il peut exercer son activité sous la forme d’une entreprise individuelle ou d’une société. Un travailleur indépendant, exerçant sans forme particulière, peut se définir comme un travailleur libéral. A ce titre, il cotise lui-même pour pour sa maladie et sa retraite (paiement forfaitaire les deux premières années) et il n’a droit à aucune indemnité de licenciement ni chômage en cas de perte d’emploi. A la différence du salarié bénéficiaire d’un portage salarial, il n’est pas employé par une société. Il facture lui-même ses clients. Le principal problème du statut de travailleur indépendant réside dans l’irrégularité des revenus apportés ainsi que dans le risque de voir son patrimoine engagé en cas de déficit.


Un mode d’activité plus simplifié : Le statut d’auto-entrepreneur

Créée par la Loi de modernisation de l’économie n° 2008-776 du 4 août 2008, ce statut est destiné à rentrer définitivement en vigueur au premier janvier 2009. Cette forme d’activité constitue une version simplifiée du statut d’entrepreneur individuel mais il est toutefois limité aux micro-entreprises.
En quelques mots : La personne peut crée son activité d’une manière extrêmement simplifié puisque l’entrepreneur n’a plus à s’inscrire au registre du commerce et des sociétés et bénéficie du régime des micro-entreprises. En conséquence, l’entrepreneur n’est pas assujetti à la TVA, et bénéficie d’une fiscalité avantageuse égale :
• 1 % du chiffre d'affaires s'il s'agit d'entreprises dont le commerce principal est de vendre des marchandises, objets, fournitures et denrées à emporter ou à consommer sur place, ou de fournir le logement.

• 1,7 % du chiffre d'affaires pour les activités de services relevant des bénéfices industriels et commerciaux (BIC).

• 2,2 % du chiffre d'affaires pour les activités libérales.

Ce statut présente un avantage indéniable lié à sa simplicité. Mais il faut garder à l’esprit que ce statut est essentiellement destiné aux entreprises qui viennent d’être formées. En effet, l’absence d’inscription au Registre du commerce et des sociétés ainsi que l’absence d’assujettissement à la TVA limitent nécessairement l’évolution d’une société, ne serait-ce que sur la question de la crédibilité à l’égard des concurrents.

Sur un plan personnel, cette entreprise présente un risque puisque si « l’entreprise coule, son dirigeant coule avec ». En effet, le gérant d’une entreprise individuelle est solidairement et indéfiniment responsable du passif social.
Ce système est donc extrêmement simple, mais plus risqué

Source : http://www.lesjeudis.com

vendredi 28 novembre 2008

1ère Société portage salarial du bâtiment

Devenir « Salarié Autonome » avec le n°1 du Bâtiment

A qui s’adresse l’offre de BTP Services Plus ?

Notre offre s’adresse soit aux porteurs de projets, leur permettant de travailler sous statut salarié, et ainsi d’acquérir l’expérience indispensable pour mener à bien leurs parcours professionnels dans le but de créer par la suite leur entreprise.

Ils pourront expérimenter leur autonomie, se constituer leur clientèle avant de prendre la décision de franchir le pas vers l’artisanat.

Également aux artisans qui ne veulent plus avoir leur propre structure, et ainsi déchargé de toute la gestion d’une entreprise, peuvent se consacrer à 100% à leur cœur de métier, et bénéficier du statut salarié.

Pourquoi BTP Services Plus est devenue la société incontournable dans le secteur du bâtiment ?

De nombreuses raisons, mais citons les principales :

Tout d’abord notre spécificité (entreprise du bâtiment), nous sommes crédible pour tous ceux qui nous contactent.

Une gestion très rigoureuse, des frais de structure minimisés, ce qui permet à nos Compagnons d’avoir un salaire brut minimum de 58 % de leur marge bénéficiaire, auquel viennent s’ajouter 10% de congés versés par la caisse du bâtiment.

La transparence vis à vis des caisses obligatoires (URSSAF, impôts, caisse de congés, assurances prof…) sur simple demande d’un client, nous lui envoyons dans la journée les différentes attestations.

Transparence également vis à vis du Compagnon, accès à un intranet sécurisé, qui lui permet, d’accéder à son dossier en ligne, 24h/24h pour le suivi de ses opérations mensuelles (bulletin de salaire, charges payées pour son compte, facturations, achats de matériaux, frais professionnels….)

Ainsi sur simple demande d’un futur Compagnon, nous n’envoyons non pas une simple simulation, mais un spécimen de bulletin de salaire en fonction de son prévisionnel ou il verra exactement les montant de charges versées pour son compte.

Notre présence nationale avec une forte réactivité et le professionnalisme de nos délégués de région avec un suivi personnalisé.

Quels sont vos objectifs pour 2009 ?

A ce jour, BTP Services Plus fédère 350 Compagnons tous actifs, notre ambition est de voir passer ce nombre à 500 d’ici fin 2009.

COMMENT ?

Avec la collaboration des Responsables de région.

Également le fait que nous avons très peu de départs pour les raisons évoquées plus haut.

C’est cet esprit de transparence qui nous permet de pérenniser notre relation avec nos « Salariés Autonomes ».

Sources :www.btp-services-plus.com

jeudi 27 novembre 2008

A propos du Portage Salarial et du télétravail

Il consiste pour une personne à effectuer une prestation pour une entreprise cliente. Celle-ci verse les honoraires qui lui sont facturés auprès d’une société de portage qui les reverse au consultant sous forme de salaire, après déduction des cotisations sociales patronales et salariales et d’une commission.

Source :

dimanche 16 novembre 2008

Portage salarial à Marseille et région PACA

Portage salarial à Marseille et région PACA

Ventoris dans la droite lignée de sa stratégie de développement implante sa solution de portage salarial à Marseille et renforce ainsi sa présence de proximité.

Au-delà de la cité phocéenne, c’est toute la région Provence-Alpes-Côte d’Azur qui par son dynamisme économique connaît une forte croissance notamment dans les nouvelles technologies ainsi que dans le tourisme.

Le portage salarial offre non seulement aux porteurs de projets les moyens de leurs ambitions mais également aux entreprises locales et à celles qui souhaitent s’implanter, une attractivité supplémentaire à la ville de Marseille et ses environs.

Ventoris
Avec un chiffre d'affaires de plus de 15 millions d'euros en 2007 et un capital social cumulé de plus de 900.000 euros, le Groupe Ventoris accompagne plus de 1.300 personnes à travers la France.

Grâce à son envergure nationale et au développement de filiales spécialisées, le Groupe Ventoris offre à chacun la possibilité de créer son activité en toute simplicité.

Lien : http://www.ventoris.fr/portage_salarial_marseille.php



Marseille
565 avenue du Prado

13008 Marseille

France
marseille@ventoris.net

Tél : 04 91 57 37 40
Fax : 04 91 57 37 41


Ventoris
représenté par Testard Laurence
565 avenue du Prado
13008 Marseille
FR
Tel : 04 91 57 37 40 - Fax : 04 91 57 37 41
Adresse e-mail : l.testard@ventoris.net
URL du site : http://www.ventoris.fr/portage_salarial_marseille.php

vendredi 17 octobre 2008

Vous facturez plus de 500€ HT/J ?

Ventoris crée le programme Iridium à l’intention des Consultants, Managers de transition, Formateurs et autres profils à haute valeur ajoutée facturant plus de 500€ HT/J.


Cette offre haut de gamme répond aux exigences des profils les plus pointus grâce à une gamme de services adaptés aux spécificités de ces derniers.

Ventoris, membre de la Fédération Nationale du Portage Salarial, se place dans les 5 premières sociétés de portage salarial par son chiffre d’affaires (17M€ en 2007) et son référencement dans les plus grandes sociétés (55% des entreprises du CAC40 comptent parmi ses références).

Grâce au programme Iridium, Ventoris conforte sa position dans le service haut de gamme et confirme son objectif de devenir le numéro 1 du portage salarial sous 2 ans.

Web : www.ventoris.net

jeudi 9 octobre 2008

Ventoris partenaire de l’ADEME


Ventoris vient de signer une licence Bilan Carbone TM* avec l’Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie.

Ce partenariat a un double objectif :

Environnemental : Ventoris, éthiquement responsable, souhaite participer activement à la gestion et la conservation des ressources terrestres.

Economique : le marché de l’environnement connaît une forte croissance. Les différentes mesures gouvernementales en faveur de l’environnement font naître de nouveaux marchés.

Par cette licence Bilan Carbone TM accordée par l' ADEME, Ventoris est à même d’accompagner les utilisateurs formés à cette méthode dans le cas où ils souhaitent travailler en solo sans créer leur entreprise.